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 She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫

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Shô Mikazuki
Shô Mikazuki





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●● Métier:
●● Âge du personnage : 19 ans.
●● Relationships :
She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫ Vide
MessageSujet: She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫   She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫ EmptyLun 15 Sep - 20:10




∆ ∆ Homura Ei'ri
feat. Enoshima Junko - SDR 2 (Kotori) & Touko - Pokémon (Ei'ri).

●● SURNOM : Aucun. Mais s'il faut lui en accorder un, "Riri" fera l'affaire.
●● ÂGE : 19 ans.
●● SEXE : Féminin.
●● SEXUALITÉ : Non définie, elle ne s'y intéresse pas.
●● GROUPE: Erudits.
●● MÉTIER : Secrétaire pistonnée. Cool d'avoir un papa qui y bosse, pas vrai ?


∆ Once upon a time



« La seule chose que j’ai pu voir ce jour-là… La seule fois où j’ai pu réellement la voir… Le seul instant où j’ai pu la contempler se battre pour payer le prix des choses pourtant simples qu’elle désirait… La seule envie que j’avais… Était d’un peu plus l’écraser. »

Elle dansait. Elle avait toujours aimé danser. Même lorsque nous jouions ensembles durant les vacances d’été, elle passait son temps à pratiquer pirouettes et grands jetés. Sous le soleil ou sous la Lune. Peu lui importait, elle avait besoin de se sentir exister. Parce qu’Ei’ri n’avait jamais réellement eu le sentiment de vivre, de profiter ce qui lui avait été donné. Et pourtant… Elle avait tout. Absolument tout. Une famille, une éducation, l’amour de ses parents, l’intérêt des gens. « Je me sens seule. » Elle l’était. Indéniablement. Terriblement. Elle vivait dans une bulle uniquement constituée de ce monde qu’elle s’était elle-même inventée. Elle vivait de son statut d’idol. Elle n’existait que par le regard des gens, alors qu’elle avait tous justes treize ans. Ses journées ne se constituaient que de multiples photos et sourires faux. Mais elle continuait. Elle avançait. Sans savoir jusqu’où elle pouvait aller. Sans se rendre compte du fait qu’elle ne faisait que ramper, mais elle s’acharnait. Elle dansait, elle continuait. La nuit, à la crique aux étoiles. Elle rêvait. De s’échapper d’une vie qu’elle n’avait jamais réellement menée. De s’extirper de son rôle de pauvre petite riche dont l’innocence avait été arrachée par des parents trop soucieux de ce que l’on pouvait bien penser. Elle n’avait jamais rien demandé. Elle ne s’octroyait aucun caprice, si ce n’était celui de pouvoir vivre comme elle le voulait. Mais même ça, ils avaient fini par le lui refuser. Vivre de cours multiples et d’un statut d’idol n’a rien d’enviable. Être la seule fierté de ses parents n’est pas chose aisée. Et par-dessus tout, elle n’avait personne à qui se raccrocher. Pas même moi. Non. Ei’ri avait fini par s’effacer, par se perdre, par s’oublier.

Alors Kotori est née.

Elle était celle qu’Ei’ri n’était pas. Elle était celle qui vivait lorsqu’Ei’ri ne le faisait pas. Elle était son quotidien, sa vie de tous les jours. Une jeune femme d’une arrogance sans limites. « Uruse. Tu me gênes. » avait-elle tout simplement annoncé à « son » père, lorsqu’il avait tenté de comprendre où sa chère fille avait bien pu passer. Ei’ri avait fini par se cacher, par ne plus exister en dehors des scènes où elle se produisait. Elle n’était devenue qu’une poupée. Une poupée qui avait cédé le libre-arbitre à Kotori pour mener la vie qu’elle aurait désirée, pour arpenter le chemin sur lequel elle aurait préféré s’aventurer. À peu de choses près.

« Ce sont des Enfants des Cieux, Kotori. Ceux qui ont été choisis. »

Ceux qui avaient, en outre, quelque chose qu’elle était en mesure de leur envier. Ceux qu’elle considérait comme lui étant supérieurs. Ceux sur qui elle voulait cracher. Ceux qu’elle voulait déchirer, écraser. Alors malgré les plaintes d’Ei’ri, Kotori choisît de devenir Erudite. Malgré les pleurs de celle qui au final n’avait que « créé » cette personnalité imaginaire qu’était Kotori, elle avait préféré entreprendre d’arracher leurs ailes à ceux qu’elle voyait au-dessus d’elle.

« Il n’y a rien entre le ciel et moi. »

Ei’ri est Kotori. Kotori est Ei’ri. Une seule et même personne dans le corps d’une jeune fille qui ne peut que sourire pour oublier. Sourire pour avancer. Sourire pour se sortir de la tête qu’elle a toujours été seule. Terriblement seule.

« Elle a fini par se noyer. Par se laisser submerger, étouffer, écraser. »

&&&.

« Je t’embrasse, et j’ai envie de te mordre, de t’arracher la jugulaire. Je te caresse, et j’ai envie de te lacérer, de te déchirer. Je te prends dans mes bras, et j’ai envie de t’étouffer, de t’étrangler. »

C’était un amour malsain. Un amour qu’elle n’avait jamais réellement compris. Un amour qui avait un peu plus écrasée cette jeune fille de dix-neuf ans, que la vie aurait dû épargner. Elle ne savait rien, elle n’y connaissait rien. Et fort heureusement, il n’avait jamais tenté quoi que ce soit. Fort heureusement, il n’avait marqué que sa peau, et non son corps. Il l’avait griffée, mordue, déchirée. Il l’avait détruite un peu plus qu’elle ne l’avait déjà été. Mais elle souriait, elle continuait. Elle encaissait, là où Kotori hurlait. Elle se soumettait, là où Kotori giflait et insultait. Parce qu’elle l’aimait ? Pas le moins du monde. Elle pensait, elle s’en persuadait, mais elle ne l’avait jamais réellement aimé. Et lorsqu’il l’avait compris, il avait fini par s’en aller, par la laisser. Une fois de plus, Ei’ri était seule. Terriblement seule. Mais je ne pouvais pas l’aider, je ne pouvais pas l’approcher.

« Ils méritent tous de crever. »

La hargne de Kotori avait fini par ensevelir la douceur d’Ei’ri. Les sourires avaient cédé la place à un air revêche constant lorsqu’elle n’était pas sur scène, ou derrière les objectifs. Les insultes fusaient lorsqu’elle n’était pas plantée derrière un micro, à chanter ce qu’elle n’avait jamais réellement pensé, ni même connu ou imaginé. Ei’ri avait arrêté de vivre. Mais elle n’a jamais cessé d’exister. Elle attend, tout simplement. Elle attend une raison de ressurgir, d’avancer, de ne plus laisser Kotori un peu plus la dévaster.

« La solitude a un prix, Ei’ri. »

Et elle le paie, encore aujourd'hui. Elle ne peut qu'observer Kotori avancer, aidée par « son » père qui l'a pistonnée en tant que secrétaire chez les Erudits. En échange de quoi, elle se doit de continuer son travail d'Idol. Son temps s'est arrêté. Elle a perdu sa liberté.


∆ You're so badass

« Ei’ri, ma jolie Ei’ri. Ton corps me plaît, me permets-tu de l’abîmer ? »

Tu as mal, pas vrai ? Mes excuses, ma chérie, je n’avais pas pour but de te blesser, uniquement de te marquer. Mais tu pourras le cacher, tu le sais. Ton ventre n’a nullement besoin d’être dévoilé. Mais j’avais besoin de le lacérer, de le déchirer, de te faire mal. J’avais besoin de m’octroyer un peu plus ce corps qui est le nôtre. Qui est le tien. Ces perruques ne suffiront jamais assez. Regarde-toi, Ei’ri, ma jolie poupée. Regarde-toi t’effondrer, regarde-toi pleurer. Tu as mal ? C’est dommage, tu ne fais que ravager ce joli petit visage. Ces yeux bleus que tu ne te gardes pas de montrer, ce nez fin et ces joues remontées. Ces jolies lèvres et ce sourire délicat que l’on a envie d’arracher. Tes cheveux bruns sont en bataille, ma jolie Ei’ri. Ils ne sont pas bien longs, comment fais-tu pour ainsi les négliger ? Tu as mal, pas vrai ? Je t’entends gémir. De ta petite voix délicate et éteinte, de cette voix qui donne envie de t’écraser. Admire-toi, ma chérie. Regarde bien ces jambes trop fines, ces hanches peu marquées, cette taille affinée, cette poitrine remontée. Tu es bien faite, quel dommage que ce corps ne soit pas le mien. Bien qu’un peu trop petite, moi qui aurait voulu être mannequin…

Mais relève-toi, ma chérie, ne cède pas. Il est l’heure. L’heure de travailler. Tu ne veux pas y aller, pas vrai ? Ne t’inquiètes donc pas, je m’en chargerais. Alors enfile cette perruque blonde coiffée en deux jolies couettes mettant un peu plus ton visage en valeur. Enfile ces vêtements bien trop provocants pour être portés par une jeune fille comme toi. Chausse-toi de ces bottes qui claquent le sol dans un fracas presque agaçant pour mieux faire gueuler les gens. Ne te maquille pas, c’est inutile, tu te fatiguerais inutilement, tu es bien assez jolie. Ca y est ? C’est fait ? Tu es si jolie.

« Bonne journée, Kotori. »
Ei’ri est Kotori. Kotori est Ei’ri. Elles vont de pair, elles ne font qu’un, mais présentent pourtant bel et bien deux personnalités totalement différentes. Qui se complètent, comblent ce que l’autre n’a pas. Ei’ri est la douceur dont Kotori a été dépossédée. À l’inverse, Kotori est l’arrogance qu’Ei’ri est incapable de démontrer. D’un extrême à l’autre, du soleil à la Lune, de la pluie au beau temps. Elles ne sont aucunement semblables et pourtant indissociables. Kotori saura hurler, s’imposer, foncer tête baissée là où Ei’ri hésitera, se taira, s’écrasera. Kotori est impulsive, arrogante, violente et malpolie. Ei’ri est délicate, souriante, maladroite, et sans cesse désolée. Kotori est une Erudite impitoyable, sarcastique, cynique, nonchalante, hautaine et dépourvue de toute moralité. Ei’ri est une idol peu sûre d’elle, discrète, un peu tsundere, attentionnée et impliquée qui n’a jamais demandé à arriver là où elle était. L’une n’a rien à envier à l’autre. Kotori est laide. Ei’ri est belle. Et inversement. Pourtant, elles ne sont qu’une seule et même personne. Nées des chimères d’une enfant que la vie a trop marquée. Inventée par le désir d’une jeune fille de pouvoir avoir des amis, de s’affirmer, d’exister.

« Kotori vit à travers moi. Elle est là, je le sais, je ne peux pas m’en détacher. Je ne suis pas malade, je vais bien, je vous le promets. »

Et elle continue de s’en persuader. De jouer. Sans comprendre ce qu’elle fait. Elle continue de se déguiser, de malmener son esprit déjà torturé. Ei’ri ma poupée, ma jolie poupée, tu finiras par te noyer dans les fracas des vagues de ton psychédélisme, de ta folie.


∆ & toi, t'es qui ?

●● Ton peuseudo : Chaton.
●● Âge : Le même qu'Ei'ri.
●● Zelda ou Link ? Na'vi.
●● Comment tu nous a trouvés ? Pouet.
●● Des suggestions ? Tendresse et chocolats.
●● Le mot de la fin, alay !



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She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫ Vide
MessageSujet: Re: She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫   She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫ EmptyLun 15 Sep - 20:25


Ce qu'en dit le Boss.



●● Ok, chaton. Alors pour commencer : Je l'aime. *^* Aussi bien Ei'ri que Kotori ! Elle est, elles sont fantastiques ! Et puis les personnages qui ont des problèmes dans leurs tête... RAAAAAAAAAH ! A la fois tellement détestable et tellement adorable. Enfin, voilà, je t'aime ! *^* Et le Boss à tenu à donner son avis. Alors j'ai pas dit non. Je tiens à mon nez... Superbe fiche et superbe perso chaton ! *^*

Le Boss a écrit:Personnellement, autant y'en a une qu'est toute chouquette, que l'autre me reviens pas. Et évidemment c'est elle que je me taperais tout les jours au boulot. J'espère qu'elle n'a pas le nez fragile. Quand à celle qui est adorable, j'ai hâte de la rencontrer. Enfin voilà. Je peux partir maintenant ?

●● Tu peux dès maintenant aller ouvrir ta fiche de liens, faire une demande de logement (mais t'es pas obligé) et même faire une demande de RPs, ou en ouvrir un directement.

Le boss à validé ta candidature. ♥

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She's such a loser. Always ready to cry, tatatata ~ ♫

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